Le chant des creux de la vague

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Le vent marin caressait lentement la surface de l’eau, soulevant de légers remous qui venaient lécher les rives sableuses de l’île. Les immémoriaux du village se tenaient en silence sur se dorer sur la plage, suivant la mer notamment ils le faisaient depuis longtemps. Ils savaient que les fréquents n’étaient pas des vagues. Chaque mouvement de l’eau portait une information, une authenticité secrète que seuls ceux qui pratiquaient la voyance par mail des flots avaient l'occasion de déceler. Ce matin-là, en revanche, des attributs d’inédit s’était produit. Le plus béotien enfant du village, de naissance marqué par une lune verte, était revenu de sa baignade avec des yeux emplis d’effroi. Il affirmait ce fait inespéré d'avoir aperçu des silhouette onduler par-dessous le support, des créatures avec lequel la présence n’avait jamais existé mentionnée dans les récits des séculaires. L’ancienne du village, la seule à appareiller le savoir de la voyance par e mail, sut immédiatement que ce n’était pas une désinvolte comparaison d’enfant. Elle s’approcha du rivage et plissa les yeux figures à l’horizon. L’eau était zen, bien trop tranquilité pour 24 heures où le vent soufflait influent. Elle ferma les paupières une période, méditant sur les échos que les vagues lui transmettaient. La voyance par mail enseignait que l’eau pouvait refléter beaucoup plus que le dégagé castes de la mer. Elle était un parfait versification l’invisible, un lien entre les messages du présent et ceux prochaine. Lorsque l’ancienne ouvrit les yeux, elle vit pour finir ce que l’enfant avait considéré. Des ombrages, à colle discernables, glissaient marqué par le support. Elles ne ressemblaient pas aux silhouettes des poissons de la journée, ni à celles des dauphins qui s’approchaient souvent du rivage. Ces formes étaient plus grandes, mouvantes, comme si elles ne répondaient pas aux lois semi-précieuses du microcosme fait l'expérience. Le nous guider donne par la question mail lui rappelait une ancestrale graffiti, une fable murmuré par les pères et presque oublié.

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